Que dois-je faire avec mon meuble?

mardi 24 novembre 2009

Samedi c'est les vacances

Alors après avoir un tout petit petit peu galèré pour trouver une valise pour partir à Bordeaux (comment ça je m'y suis prise à la dernière minute, spa mon genre du tout; je remercie au passage tonton Bertrand et cousin Thomas ils sauront pourquoi et de toute manière ils sauront peut être jamais étant donné qu'ils ne viennent pas sur ce blog, bref...), je me suis retrouvée samedi matin à devoir faire mes valises pour 2 semaines (oui samedi matin parce que vendredi soir j'ai discuté jusque tard avec ma cousine Magali que presque on s'était rien dit mardi soir quand on avait discuté jusque très tard aussi).

Donc chéri au lit (oui parce que chéri il a fait de la température dans la nuit et que surtout il voulait des câlins et que moi j'avais trop chaud mais que non il fallait faire des câlins), donc chéri au lit, Adèle fait les valises... c'est quand même allé vite mais fallait réfléchir : non les aiguilles à tricoter pas pour dans l'avion, ne pas oublier le chargeur du téléphone et celui de l'Ipod et le billet d'avion et la carte d'identité (ha non elle périmée tiens..)...

Bref, on est prêt, on part à l'heure (qui a dit en avance?) pas le temps de passer dire au revoir au gens (ma mamie n''est pas très contente), on arrive à l'heure à l'aéroport (qui as dit très en avance?) et on attend. Et en attendant on se demande pourquoi ils ont mis des grillages dehors de l'aéroport, le truc infranchissable? On rentre dans l'aéroport, Adèle elle va faire pipi. Puis on cherche le terminal, on n'a pas cherché longtemps, c'est pas bien grand hein. Et ho surprise, je pars de la Suisse et on passe la frontière dedans de l'aéroport et dehors on se retrouve de l'autre côté des barrières infranchissables. Comme quoi tout s'explique.
Passage au pessage de valise, trop lourde, on s'est retrouvé à enlevé quelques kilos pour pas payer plus cher (mes chaussures pèsent 700 grammes au cas où sa interesse quelqu'un).

Sinon pas d'incidents majeurs à signaler pendant le parcours. Je ne pensais pas qu'on pouvais ne pas placer les gens dans un avion, et bien si, forcément je n'étais pas au hublot, mais nous étions 2 pour les 3 places donc ça allait.
C'était quand même mon premier vol "court", et bien les long c'est beaucoup plus agréble, on entend beaucoup moins le BRUIT de l'avion (Ipod sur les oreilles pendant tout la trajet car vraiment insuportable) et les hôtesses essayent de parler français corectement (parce que la c'était pire que du petit nègre franchement), les explications en cas d'acciddent tu les as en français (avec easyjet soit tu parles anglais et tu es sauvés, soit tu restes dans l'avion).

Atterisage sans problème et à l'arrivée une famille Bacquias qui m'attendais les cheveux mouillés avec une pancarte (bin oui cas où, mais restée toute seule à Bordeaux me faisait moins peur que d'être toute seule à Toronto hein Marie-Pierre).

3 commentaires:

MAPI a dit…

euh oups ... on m'a sonné ?
mais à Bordeaux tu peux difficilement être pris dans une tempête de neige et les embouteillages qui en découlent pour aller à l'aéroport quand même ... j'ai une petit excuse ???? dis dis tu m'en veux encore ???

Jonathan et Adèle a dit…

Non Marie-Pierre, j'en rigole encore, je ne t'en ai jamais voulu... Et puis je t'ai attendue sans bouger.

MAPI a dit…

:-)
On a eu tellement de péripéties avec cette neige !! Plein de souvenirs !!
Bisous et profite bien !